Ormalacra est l’un des noms que Man Ray a donnés à son amie Carol Rama,

« la femme aux sept visages ».

Au fil du souvenir d’une déambulation dans l’atelier de l’artiste à Turin,

Valeria Apicella entrelace sur son corps l’imagination de ces personnalités multiples.


Donner à voir un  corps de femme qui se métamorphose,

comme une réponse immédiate à l’œuvre libre de Carol Rama.

Offrir ce qui se dérobe à la vue,

pour laisser imaginer la mélodie des choses qui habitent son univers secret.

ORMALACRA

performance

***



conception, interprétation Valeria Apicella


montage sonore Cyril Béghin / assistante plateau Charlène Micaleff

photographie Guillaume Coppé / captation vidéo Nicolas Babonneau

la phrase musicale de Luciano Berio dédiée à Carol Rama a été jouée par Andrea Repetto


production  cie 3.14 / avec le soutien du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris

et du CND

 

durée  35 min environ


création le 20 juin 2015 au Musée d’Art moderne de Paris,

dans l’exposition “La Passion selon Carol Rama”

>> ORMALACRA